Le cheval blanc
« Sa va ?, me demandai Cindy, ma meilleur amie, Tu as fait une belle chute ! »
« Oui, sa va !, lui répondis-je en me frottant les genoux plein de poussière, Kiwi n’est pas très haut et j’ai suivie les consignes de sécurités : je me suis mise en boule !
Je remontai sur Kiwi, le magnifique double poney gris.
J’était dans le centre équestre de mes parents et Manu, le moniteur d’équitation, m’avait fait un cours pour mon amie et moi.
Il nous avait dit que nous étions prêtes pour le saut d’obstacle.
Puis, Manu me demandai de recommencer mais, cette fois, de me pencher plus en avant.
Je fis partir Kiwi au trot.
A deux mètres de l’obstacle, je me mis en équilibre sur mes étrier en me penchant en avant.
Et, d’un coup de saut puissant, Kiwi passai l’obstacle si facile a son goût.
« J’AI REUSSIE !!!, hurlais-je, J’y suis arrivée, je ne suis pas tomber ! »
« Oui, me répondis calmement Manu en enlevant les barres, Maintenant on va essayer un petit galop ! »
Manu me dit de commencer.
Je me mis sur la piste à main droite, comme il me l’avait dit.
Je partis au pas, puis au trot.
Je demandai a Kiwi d’aller encore plus vite, et …
IL GALOPAI !!!
Une sensation de bonheur m’envahie.
Enfin, je galopais, j’attendais cela avec impatience.
Une demi-heure plus tard, Manu annonça la fin de la reprise.
Je ramenais Kiwi pour le panser quand j’entendit un bruit de sabot …
Je regardai dans la direction de la colline, par instinct, et je vis …
D’abord je ne vis rien, mes yeux s’habituèrent à la forte lumière du soleil, mais…
Quelle était cette ombre ?
Elle se déplaçait à vive allure.
D’un coup, elle s’arrêta et je pût voir que s’était un magnifique cheval blanc !
Cinq minutes après, il fut effrayer par un bruit et il partis d’un galop souple.
Je pût voir sa belle musculature, il était aussi souple.
Quelques minutes plus tard, je revins sur terre : il avait disparu dans la foret !
Je me promis d’aller le chercher l’après midi.
En finissant de brosser Kiwi, je rêvassais du beau cheval.
Une fois fini, je le rentra dans son box.
Avec mon père, on alla chercher Mûre et son poulain Flamme qui étaient dans le pré près de la rivière, en face du centre.
Je tenais Flamme, MON poulain, en longe pendant que mon père prenais sa jument.
On les déposèrent dans leurs grand box, que pour eux et ont partis manger.
Ce midi là, on mangea des frites avec un hamburger, se qui était très rare !
Après avoir manger, je suis aller demander à mon père pour aller faire une ballade.
Il me répondit oui et repartit chercher un nouveau cheval pour remplacer Ocre.
Il m’avait aussi dit d’aller demander à Manu quel cheval je devais monter.
J’allais donc voir Manu et lui demanda quel cheval je devais prendre pour faire une ballade et ne pas me mettre en danger.
Il me répondit que je pouvait monter le cheval que je voulais car j’avais un assez bon niveau.
Je pris Saturna, une belle jument arabe noire et bien musclée.
Je l’avais choisie car elle avait un pied sûr, elle pouvait aussi aller vite si je le lui demandais et elle sautait agilement.
Elle avait aussi gagner le concours de TREC de France.
Je la pansai en vitesse, le sellai, le bridai et l’emmenai au milieu du manège.
Je la ressanglai et me mis en selle, puis, je réglai mes étriers à la hauteur pour sauter.
Je sortie du manège en selle, au pas puis au petit trot.
Ma jument me répondait a merveille !
Un obstacle restait dans la carrière et je me dis que je devais d’abord essayer de sauter ici pour être sur d’y arriver dans les bois.
Je lançai Saturna au trot puis au petit galop dans la carrière.
Je longeai la barrière et je la fis encore accélérer.
Dans la dernière longueur, je relâchai un petit peu les rênes pour lui laisser un peux plus de liberté.
Plus que deux foulées, un tremblement me parcouru : et si je n’y arrivais pas et que je tombais ?
Je chassai cette idée de mon esprit et me concentrai sur l’obstacle : plus qu’une foulée !
Je me mis en équilibre en prenant de la crinière dans ma main du côté du mur : je savais que les chevaux avaient tendance a sauter contre le mur.
Saturna souleva ses antérieurs et poussa souplement avec ses postérieurs.
Elle sautais vraiment bien : j’avait fait le bon choix !
Je sortis du manège au petit trot.
La jument n’hésitai pas lorsque je me dirigeai vers la rivière a travers champs et prés.
Je pris un petit galop souple pour détendre ma jument.
D’un coup, je vis un tronc d’arbre barré notre route et je n’eus pas le temps de dire a ma jument de ralentir.
Elle ne n’hésita pas là non plus, elle sauta d’un petit bond en avant souplement comme pour le saut dans la carrière.
Je m’arrêtai quelques mètres plus loin pour reprendre mon souffle.
Après avoir récupérer, je remis ma jument au pas tranquillement.
Nous arrivions enfin à la rivière, il ne restait plus qu’à la traverser.
Je m’arrêtai quelques secondes pour essayer de trouver l’endroit le moins profond.
Je trouvai un endroit avec une profondeur d’à peu près un mètre.
Saturna était grande mais j’allais quand même être mouillée.
Je la mis au pas, décidée a trouver le mystérieux cheval blanc.
Elle ne bronchai pas pour rentrer dans l’eau, cette jument était vraiment super !
La jument atteignit la berge sans encombrements.
Je remarquai des empreintes de chevaux sur le sol.
Elle étaient assez grande, mais pas trop.
Tout d’un coup un cheval sortis du bois…
Ce n’était pas le blanc mais un très bel alezan.
Il n’avait pas de selle, mais l’on remarquais des trace de filet.
Je me dit que je devais le rentrer au centre car le pré de ce coté de la rivière n’était à personne.
J’avait emporter un licol avec une longe au cas ou je trouvera le bel étalon blanc.
Je réussi a passer ce licol au bel alezan et attacha la longe a ma selle.
Je refis le chemin en sens inverse et faisant attention au tronc.
Arrivée au centre je vis mon père arriver avec un jeune fille brune.
A la vue de l’Alezan ses yeux brillèrent et elle s’élança vers moi.
« VOUS AVEZ RETROUVER MON PHARAON !!!, hurlait-elle, merci beaucoup, vous êtes trop gentille mademoiselle !!! »
« Je viens de le trouver près de la rivière en me baladant !!!, bredouillai-je, je n’ai fait que de le ramener ! »
une histoire que j'ai inventer (meme pas finie de la taper sur le pc ni de l'écrire dans mon cahier de brouillon, elle fait 7 pages et demis sur un petit cahier lol)